Règlement et cie. || The Last Hope c'est un monde. Un monde très particulier. Alors, pour ne pas être perdus on vous conseille (non en faite on vous oblige, mais nous ne souhaitons pas passer pour des grandes sadiques) à lire d'abord le contexte et ensuite le règlement. Et parce qu'on est vraiment des êtres merveilleux, on vous re-conseille de lire "Les monstres de The Last Hope" et le "Un peu plus"...

Annonces|| Le panneau d'accueil c'est un peu les informations au jour le jour de TLH. Que cela soit pour le recensement, les évènements ou une annonce un peu particulière tout ce passe sur le panneau d'accueil. C'est pour ça qu'il est assez important de venir y faire un petit tour régulièrement, histoire de voir si vous n'avez rien manqué de nouveau sur The Last Hope.

Au sein du pensionnat, les Jardins restent une source de beauté et de tranquillité rare. Constamment dans l'ombre du grand pensionnat, les fleurs au parfums uniques et enivrants semblent briller d'elles même, accompagnées par de nombreuse lucioles aux couleurs incandescentes qui virevoltent vivement autour des bassins d'eau claire et scintillantes. Véritable paradis qui n'a rien à envier aux plus grand jardins du monde, nul ne sait qui l'a créé, et qui l'entretient aujourd'hui, le pensionnat n'ayant plus de jardinier depuis bien longtemps. Et, bien que l'endroit soit féerique, cette indépendance est clairement visible : D'étranges plantes bleues, titanesques, couvrent le ciel par endroit. Au sol de petites herbes folles turquoises veinées de rouge, ondulent sous les pas. Plusieurs centaines de variétés se sont ainsi développées, se respectant plus ou moins les une les autres. Vous les entendez chuchoter la nuit ? Pas étonnant, on dit que certaines sont pourvues de sens ou de paroles. Vivantes ? Non, tout aussi démoniaques que le lieu dans lequel vous vous trouvez.

Même ici l'on trouve un cimetière. C'est à la fois étonnant et normal. Celui ci n'est pas entretenu, les herbes folles rongent les tombes qui sont bancales et fissurées, le lierre s'accroche aux tombeaux de pierre, et la brume opaque et humide qui tapisse le sol semble éternelle. Endroit glauque encadré par d'immenses murs de pierres, un peu à l'écart des autres bâtiments, rares sont les élèves qui ont vraiment envie de s'y balader pour le plaisir. Vous pourrez peut-être y croiser des fantômes venus pleurer sur leur mort, ou même des vivants dont les amis sont décédés. Ici sont enterrés les corps retrouvés au fil du temps dans le domaine du pensionnat. Quel que soit son état, quel que soit son histoire. Un nom, une date, point barre. On vous l'a dit : Quand vous y entrez, vous n'en ressortez jamais plus. Oh, et inutile de croire que votre famille sera informée, ce serait naïf et stupide.

Le pensionnat n'est pas un lieu que l'on peut visiter à sa guise si l'on n'a pas le droit d'y entrer, c'est un fait. Mais entrer n'est pas véritablement un problème pour peu que vous ayez une bonne explication. Non, c'est en sortir qui est difficile, et c'est la raison de l'existence de ces grilles qui vous coupent du monde extérieur. C'est pourquoi les grilles finement scluptées dans de l'or et de l'ébène sont fermées aux gens de l'extérieur comme de l'intérieur, et deux magnifiques gargouilles de platine en garde l'entrée farouchement. Les intempéries y veillant, l'or ne tient plus et fond en gouttes brûlante le long du bois qui se minéralise. Les gargouilles dévisagées dégoulinent sur les colonnes qu'elles surplombaient et y serpentent en de larges spirales, ne cessant d'irradier, comme animée d'un vie propre, prête à saisir le premier passant non avertit, et à punir les fugitifs.